Montclus - un peu d'histoire
Le site de Montclus se situe à l'entrée de l’extrémité orientale des gorges de la Cèze. Il constitue, de par sa situation dans un méandre, un endroit protégé permettant la sécurisation et le contrôle de cette voie de circulation entre Barjac et Bagnols sur Cèze.
Le lieu est cité pour la première fois en 1165. Pourtant, les ruines conservées plaident en faveur d’une construction beaucoup plus précoce de l’édifice.
Des fouilles archéologiques, à proximité de Montclus, ont permis de mettre en évidence la présence de l'homme à Montclus depuis des temps immémoriaux : découverte d'une stratification allant de 8000 à 2000 avant J-C. Présence de tribus de pêcheurs sédentaires.
Le village médiéval existait avant le XIIIème siècle.
En 1263 fut fondée à Montclus une abbaye au nom de Mons Serratus. Il reste les vestiges d'un ancien monastère bénédictin troglodytique (vaste salle creusée dans le roc) au lieu-dit « Les Beaumes » qui servit plus tard de chapelle aux Templiers (XII et XIIIème siècles).
En 1275 fut construit un château dont il ne reste que le donjon carré d’une grande hauteur.
Il est certain que le château fort et le bourg appartenaient au 13e siècle aux comtes de Sabran, et étaient situés dans la partie septentrionale de leur territoire. De même que les comtes d’Anduze et de Barjac, les comtes de Sabran faisaient partie, depuis la fin du 11e siècle, des « milites majores », les partisans les plus importants du comte de Toulouse.
En plus de leur château fort de Sabran, ces comtes possédaient les châteaux de Montclus, de Tresques, de Saint-Victor-la-Coste, certaines parties du château fort de Bouquet, et, par périodes, le château fort de Saint-Laurent-des-Arbres.
Leur domaine était limité au Nord-Ouest par celui des comtes de Barjac, qui non seulement possédaient leur château attitré de Barjac, mais dont des membres de la famille ou des vassaux règnaient sur de nombreux autres châteaux forts, ainsi par exemple sur celui de Féreyrolles, proche de Montclus.
Au 17e siècle, le château passe à la famille Vivet et en 1750, par mariage, à la famille Vogüé, à laquelle il appartient encore aujourd’hui.
Plus tard a été construit le Pont du Moulin enjambant la Cèze qui dit-on roulait des paillettes d’or.
le Château
le château et le village dominant la Cèze
Montclus - un peu d'histoire
Le site de Montclus se situe à l'entrée de l’extrémité orientale des gorges de la Cèze. Il constitue, de par sa situation dans un méandre, un endroit protégé permettant la sécurisation et le contrôle de cette voie de circulation entre Barjac et Bagnols sur Cèze.
Le lieu est cité pour la première fois en 1165. Pourtant, les ruines conservées plaident en faveur d’une construction beaucoup plus précoce de l’édifice.
Des fouilles archéologiques, à proximité de Montclus, ont permis de mettre en évidence la présence de l'homme à Montclus depuis des temps immémoriaux : découverte d'une stratification allant de 8000 à 2000 avant J-C. Présence de tribus de pêcheurs sédentaires.
Le village médiéval existait avant le XIIIème siècle.
En 1263 fut fondée à Montclus une abbaye au nom de Mons Serratus. Il reste les vestiges d'un ancien monastère bénédictin troglodytique (vaste salle creusée dans le roc) au lieu-dit « Les Beaumes » qui servit plus tard de chapelle aux Templiers (XII et XIIIème siècles).
En 1275 fut construit un château dont il ne reste que le donjon carré d’une grande hauteur.
Il est certain que le château fort et le bourg appartenaient au 13e siècle aux comtes de Sabran, et étaient situés dans la partie septentrionale de leur territoire. De même que les comtes d’Anduze et de Barjac, les comtes de Sabran faisaient partie, depuis la fin du 11e siècle, des « milites majores », les partisans les plus importants du comte de Toulouse.
le Château
le château et le village dominant la Cèze
En plus de leur château fort de Sabran, ces comtes possédaient les châteaux de Montclus, de Tresques, de Saint-Victor-la-Coste, certaines parties du château fort de Bouquet, et, par périodes, le château fort de Saint-Laurent-des-Arbres.
Leur domaine était limité au Nord-Ouest par celui des comtes de Barjac, qui non seulement possédaient leur château attitré de Barjac, mais dont des membres de la famille ou des vassaux règnaient sur de nombreux autres châteaux forts, ainsi par exemple sur celui de Féreyrolles, proche de Montclus.
Au 17e siècle, le château passe à la famille Vivet et en 1750, par mariage, à la famille Vogüé, à laquelle il appartient encore aujourd’hui.
Plus tard a été construit le Pont du Moulin enjambant la Cèze qui dit-on roulait des paillettes d’or.
au fil des ruelles, des passages voûtés et des plages
Montclus - un peu d'histoire
Le site de Montclus se situe à l'entrée de l’extrémité orientale des gorges de la Cèze. Il constitue, de par sa situation dans un méandre, un endroit protégé permettant la sécurisation et le contrôle de cette voie de circulation entre Barjac et Bagnols sur Cèze.
Le lieu est cité pour la première fois en 1165. Pourtant, les ruines conservées plaident en faveur d’une construction beaucoup plus précoce de l’édifice.
Des fouilles archéologiques, à proximité de Montclus, ont permis de mettre en évidence la présence de l'homme à Montclus depuis des temps immémoriaux : découverte d'une stratification allant de 8000 à 2000 avant J-C. Présence de tribus de pêcheurs sédentaires.
Le village médiéval existait avant le XIIIème siècle.
En 1263 fut fondée à Montclus une abbaye au nom de Mons Serratus. Il reste les vestiges d'un ancien monastère bénédictin troglodytique (vaste salle creusée dans le roc) au lieu-dit « Les Beaumes » qui servit plus tard de chapelle aux Templiers (XII et XIIIème siècles).
le Château
le château et le village dominant la Cèze
En 1275 fut construit un château dont il ne reste que le donjon carré d’une grande hauteur.
Il est certain que le château fort et le bourg appartenaient au 13e siècle aux comtes de Sabran, et étaient situés dans la partie septentrionale de leur territoire. De même que les comtes d’Anduze et de Barjac, les comtes de Sabran faisaient partie, depuis la fin du 11e siècle, des « milites majores », les partisans les plus importants du comte de Toulouse.
En plus de leur château fort de Sabran, ces comtes possédaient les châteaux de Montclus, de Tresques, de Saint-Victor-la-Coste, certaines parties du château fort de Bouquet, et, par périodes, le château fort de Saint-Laurent-des-Arbres.
Leur domaine était limité au Nord-Ouest par celui des comtes de Barjac, qui non seulement possédaient leur château attitré de Barjac, mais dont des membres de la famille ou des vassaux règnaient sur de nombreux autres châteaux forts, ainsi par exemple sur celui de Féreyrolles, proche de Montclus.
Au 17e siècle, le château passe à la famille Vivet et en 1750, par mariage, à la famille Vogüé, à laquelle il appartient encore aujourd’hui.
Plus tard a été construit le Pont du Moulin enjambant la Cèze qui dit-on roulait des paillettes d’or.
au fil des ruelles, des passages voûtés et des plages
Montclus - un peu d'histoire
Le site de Montclus se situe à l'entrée de l’extrémité orientale des gorges de la Cèze. Il constitue, de par sa situation dans un méandre, un endroit protégé permettant la sécurisation et le contrôle de cette voie de circulation entre Barjac et Bagnols sur Cèze.
Le lieu est cité pour la première fois en 1165. Pourtant, les ruines conservées plaident en faveur d’une construction beaucoup plus précoce de l’édifice.
Des fouilles archéologiques, à proximité de Montclus, ont permis de mettre en évidence la présence de l'homme à Montclus depuis des temps immémoriaux : découverte d'une stratification allant de 8000 à 2000 avant J-C. Présence de tribus de pêcheurs sédentaires.
Le village médiéval existait avant le XIIIème siècle.
En 1263 fut fondée à Montclus une abbaye au nom de Mons Serratus. Il reste les vestiges d'un ancien monastère bénédictin troglodytique (vaste salle creusée dans le roc) au lieu-dit « Les Beaumes » qui servit plus tard de chapelle aux Templiers (XII et XIIIème siècles).
le Château
le château et le village dominant la Cèze
En 1275 fut construit un château dont il ne reste que le donjon carré d’une grande hauteur.
Il est certain que le château fort et le bourg appartenaient au 13e siècle aux comtes de Sabran, et étaient situés dans la partie septentrionale de leur territoire. De même que les comtes d’Anduze et de Barjac, les comtes de Sabran faisaient partie, depuis la fin du 11e siècle, des « milites majores », les partisans les plus importants du comte de Toulouse.
En plus de leur château fort de Sabran, ces comtes possédaient les châteaux de Montclus, de Tresques, de Saint-Victor-la-Coste, certaines parties du château fort de Bouquet, et, par périodes, le château fort de Saint-Laurent-des-Arbres.
Leur domaine était limité au Nord-Ouest par celui des comtes de Barjac, qui non seulement possédaient leur château attitré de Barjac, mais dont des membres de la famille ou des vassaux règnaient sur de nombreux autres châteaux forts, ainsi par exemple sur celui de Féreyrolles, proche de Montclus.
Au 17e siècle, le château passe à la famille Vivet et en 1750, par mariage, à la famille Vogüé, à laquelle il appartient encore aujourd’hui.
Plus tard a été construit le Pont du Moulin enjambant la Cèze qui dit-on roulait des paillettes d’or.
L A P L A C E D E S A I R E S
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C'est la place du village, lieu où auparavant on battait le grain: l’aire. Jadis, cet endroit était situé à l’extérieur du village, et les habitations étaient massées autour du château. Il est resté libre de constructions pour favoriser la circulation de l’air au sein du village.
Cette place des Aires avait une fontaine à l'emplacement de l'actuel monument. Celle ci a été démontée et plusieurs de ses éléments se trouvent en divers endroits du village.
C’est aujourd'hui le véritable cœur de Montclus et le lieu où se tiennent ses diverses manifestations, le marché estival, la fête votive et bien sur les fameuses parties de pétanque ...!
au fil des ruelles, des passages voûtés et des plages
L A P L A C E D E S A I R E S
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C'est la place du village, lieu où auparavant on battait le grain: l’aire. Jadis, cet endroit était situé à l’extérieur du village, et les habitations étaient massées autour du château. Il est resté libre de constructions pour favoriser la circulation de l’air au sein du village.
Cette place des Aires avait une fontaine à l'emplacement de l'actuel monument. Celle ci a été démontée et plusieurs de ses éléments se trouvent en divers endroits du village.
C’est aujourd'hui le véritable cœur de Montclus et le lieu où se tiennent ses diverses manifestations, le marché estival, la fête votive et bien sur les fameuses parties de pétanque ...!
au fil des ruelles, des passages voûtés et des plages
L A P L A C E D E S A I R E S
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C'est la place du village, lieu où auparavant on battait le grain: l’aire. Jadis, cet endroit était situé à l’extérieur du village, et les habitations étaient massées autour du château. Il est resté libre de constructions pour favoriser la circulation de l’air au sein du village.
Cette place des Aires avait une fontaine à l'emplacement de l'actuel monument. Celle ci a été démontée et plusieurs de ses éléments se trouvent en divers endroits du village.
C’est aujourd'hui le véritable cœur de Montclus et le lieu où se tiennent ses diverses manifestations, le marché estival, la fête votive et bien sur les fameuses parties de pétanque ...!
L' E G L I S E
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Construite en 1825, l’église de Montclus est récente; l'ancienne église se trouvait auparavant à l’emplacement de l’actuelle mairie, en contrebas. Ce monument, entièrement restauré en 1996, offre une façade très simple, sans fioriture. Ce choix s’explique par le souhait de ne point heurter les sensibilités d’un village qui fut massivement protestant.
Les guerres de religion ont ici été très violentes et des textes particulièrement durs et sanglants témoignent de ce passé du village. Suite à la Révocation de l’Edit de Nantes, le protestantisme a connu un lent déclin dans toute la Basse Vallée de la Cèze.
A noter, le campanile en fer forgé très ouvragé, qui offre un contraste saisissant avec la simplicité de la façade !.
L A P L A C E D E S A I R E S
C'est la place du village, lieu où auparavant on battait le grain: l’aire. Jadis, cet endroit était situé à l’extérieur du village, et les habitations étaient massées autour du château. Il est resté libre de constructions pour favoriser la circulation de l’air au sein du village.
Cette place des Aires avait une fontaine à l'emplacement de l'actuel monument. Celle ci a été démontée et plusieurs de ses éléments se trouvent en divers endroits du village.
C’est aujourd'hui le véritable cœur de Montclus et le lieu où se tiennent ses diverses manifestations, le marché estival, la fête votive et bien sur les fameuses parties de pétanque ...!
L' E G L I S E
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Construite en 1825, l’église de Montclus est récente; l'ancienne église se trouvait auparavant à l’emplacement de l’actuelle mairie, en contrebas. Ce monument, entièrement restauré en 1996, offre une façade très simple, sans fioriture. Ce choix s’explique par le souhait de ne point heurter les sensibilités d’un village qui fut massivement protestant.
Les guerres de religion ont ici été très violentes et des textes particulièrement durs et sanglants témoignent de ce passé du village. Suite à la Révocation de l’Edit de Nantes, le protestantisme a connu un lent déclin dans toute la Basse Vallée de la Cèze.
A noter, le campanile en fer forgé très ouvragé, qui offre un contraste saisissant avec la simplicité de la façade !.
L' E G L I S E
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Construite en 1825, l’église de Montclus est récente; l'ancienne église se trouvait auparavant à l’emplacement de l’actuelle mairie, en contrebas. Ce monument, entièrement restauré en 1996, offre une façade très simple, sans fioriture. Ce choix s’explique par le souhait de ne point heurter les sensibilités d’un village qui fut massivement protestant.
Les guerres de religion ont ici été très violentes et des textes particulièrement durs et sanglants témoignent de ce passé du village. Suite à la Révocation de l’Edit de Nantes, le protestantisme a connu un lent déclin dans toute la Basse Vallée de la Cèze.
A noter, le campanile en fer forgé très ouvragé, qui offre un contraste saisissant avec la simplicité de la façade !.
R U E D U C O U V E N T - L A P L A C E T T E
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Cette jolie placette dans la rue du Couvent est mise en valeur par une belle végétation typiquement méditerranéenne de buis, de bignone, de micocoulier, de vigne vierge et de lauriers roses qui s’élancent sur les façades !
La fontaine en demi-cercle date du 19ème siècle et a été installée récemment. Elle semble trouver ici sa vraie place et offre au promeneur un espace apaisant.
A droite, l’ancien Hôpital était une dépendance de l’Hôpital de Pont St Esprit qui avait choisi Montclus pour sa position stratégique au cœur de la vallée de la Cèze, entre les communes de Barjac et Goudargues. Halte privilégiée pour les voyageurs, il eut un rôle majeur lors des épidémies de peste ou de choléra du 19ème siècle.
L' E G L I S E
Construite en 1825, l’église de Montclus est récente; l'ancienne église se trouvait auparavant à l’emplacement de l’actuelle mairie, en contrebas. Ce monument, entièrement restauré en 1996, offre une façade très simple, sans fioriture. Ce choix s’explique par le souhait de ne point heurter les sensibilités d’un village qui fut massivement protestant.
Les guerres de religion ont ici été très violentes et des textes particulièrement durs et sanglants témoignent de ce passé du village. Suite à la Révocation de l’Edit de Nantes, le protestantisme a connu un lent déclin dans toute la Basse Vallée de la Cèze.
A noter, le campanile en fer forgé très ouvragé, qui offre un contraste saisissant avec la simplicité de la façade !.
R U E D U C O U V E N T - L A P L A C E T T E
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Cette jolie placette dans la rue du Couvent est mise en valeur par une belle végétation typiquement méditerranéenne de buis, de bignone, de micocoulier, de vigne vierge et de lauriers roses qui s’élancent sur les façades !
La fontaine en demi-cercle date du 19ème siècle et a été installée récemment. Elle semble trouver ici sa vraie place et offre au promeneur un espace apaisant.
A droite, l’ancien Hôpital était une dépendance de l’Hôpital de Pont St Esprit qui avait choisi Montclus pour sa position stratégique au cœur de la vallée de la Cèze, entre les communes de Barjac et Goudargues. Halte privilégiée pour les voyageurs, il eut un rôle majeur lors des épidémies de peste ou de choléra du 19ème siècle.
R U E D U C O U V E N T
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Cette jolie placette dans la rue du Couvent est mise en valeur par une belle végétation typiquement méditerranéenne de buis, de bignone, de micocoulier, de vigne vierge et de lauriers roses qui s’élancent sur les façades !
La fontaine en demi-cercle date du 19ème siècle et a été installée récemment. Elle semble trouver ici sa vraie place et offre au promeneur un espace apaisant.
A droite, l’ancien Hôpital était une dépendance de l’Hôpital de Pont St Esprit qui avait choisi Montclus pour sa position stratégique au cœur de la vallée de la Cèze, entre les communes de Barjac et Goudargues. Halte privilégiée pour les voyageurs, il eut un rôle majeur lors des épidémies de peste ou de choléra du 19ème siècle.
I N T I M I T E D' U N J A R D I N P R I V E
__________________________________________________
Ce beau jardin privé, luxuriant et bien entretenu est tout à fait symbolique de la renaissance du village. Au début des années 60, les maisons du village étaient vides et tombaient en ruine. L’exode rural avait eu raison du dynamisme du village qui compta au 19ème siècle jusqu'à 750 habitants!
Depuis, villageois et résidents se sont mis à l’œuvre pour embellir la commune, restaurer les bâtiments anciens, et fleurir les rues et ruelles. De nouvelles familles se sont installées au village dont l’atmosphère est redevenue particulièrement agréable et même joyeuse en été!
R U E D U C O U V E N T
Cette jolie placette dans la rue du Couvent est mise en valeur par une belle végétation typiquement méditerranéenne de buis, de bignone, de micocoulier, de vigne vierge et de lauriers roses qui s’élancent sur les façades !
La fontaine en demi-cercle date du 19ème siècle et a été installée récemment. Elle semble trouver ici sa vraie place et offre au promeneur un espace apaisant.
A droite, l’ancien Hôpital était une dépendance de l’Hôpital de Pont St Esprit qui avait choisi Montclus pour sa position stratégique au cœur de la vallée de la Cèze, entre les communes de Barjac et Goudargues. Halte privilégiée pour les voyageurs, il eut un rôle majeur lors des épidémies de peste ou de choléra du 19ème siècle.
I N T I M I T E D' U N J A R D I N P R I V E
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Ce beau jardin privé, luxuriant et bien entretenu est tout à fait symbolique de la renaissance du village. Au début des années 60, les maisons du village étaient vides et tombaient en ruine. L’exode rural avait eu raison du dynamisme du village qui compta au 19ème siècle jusqu'à 750 habitants!
Depuis, villageois et résidents se sont mis à l’œuvre pour embellir la commune, restaurer les bâtiments anciens, et fleurir les rues et ruelles. De nouvelles familles se sont installées au village dont l’atmosphère est redevenue particulièrement agréable et même joyeuse en été!
I N T I M I T E D' U N J A R D I N
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Ce beau jardin privé, luxuriant et bien entretenu est tout à fait symbolique de la renaissance du village. Au début des années 60, les maisons du village étaient vides et tombaient en ruine. L’exode rural avait eu raison du dynamisme du village qui compta au 19ème siècle jusqu'à 750 habitants!
Depuis, villageois et résidents se sont mis à l’œuvre pour embellir la commune, restaurer les bâtiments anciens, et fleurir les rues et ruelles. De nouvelles familles se sont installées au village dont l’atmosphère est redevenue particulièrement agréable et même joyeuse en été!
L A R U E D E L' E C H O P P E
_________________________________________
Cette rue de l’échoppe doit son nom à la maison située au départ de la rue, appelée «La Maison du Barbier» car on y voit un plat à barbe au dessus de la porte d’entrée. Est-ce une véritable information ou simplement une tradition orale, nul ne le sait, mais le mystère reste entier…...
Sur votre gauche, au deuxième étage, sous la fenêtre, se trouvent deux morceaux de bois: C'est certainement pour y accrocher des fruits, notamment des figues et les faire sécher à cet endroit. Ceci est une subsistance de l’activité vivrière forte des habitants qui cultivaient leurs parcelles de légumes, possédaient quelques arbres fruitiers, des oliviers et souvent des chèvres…
I N T I M I T E D' U N J A R D I N
Ce beau jardin privé, luxuriant et bien entretenu est tout à fait symbolique de la renaissance du village. Au début des années 60, les maisons du village étaient vides et tombaient en ruine. L’exode rural avait eu raison du dynamisme du village qui compta au 19ème siècle jusqu'à 750 habitants!
Depuis, villageois et résidents se sont mis à l’œuvre pour embellir la commune, restaurer les bâtiments anciens, et fleurir les rues et ruelles. De nouvelles familles se sont installées au village dont l’atmosphère est redevenue particulièrement agréable et même joyeuse en été!
L A R U E D E L' E C H O P P E
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Cette rue de l’échoppe doit son nom à la maison située au départ de la rue, appelée «La Maison du Barbier» car on y voit un plat à barbe au dessus de la porte d’entrée. Est-ce une véritable information ou simplement une tradition orale, nul ne le sait, mais le mystère reste entier…...
Sur votre gauche, au deuxième étage, sous la fenêtre, se trouvent deux morceaux de bois: C'est certainement pour y accrocher des fruits, notamment des figues et les faire sécher à cet endroit. Ceci est une subsistance de l’activité vivrière forte des habitants qui cultivaient leurs parcelles de légumes, possédaient quelques arbres fruitiers, des oliviers et souvent des chèvres…
R U E D E L' E C H O P P E - R U E SO U L E I A D O
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Nous sommes ici à un endroit tout à fait représentatif de l'urbanisme et de l'architecture de Montclus; Cette rue Souleiado descend en direction de la Cèze. Et on imagine ces femmes qui, toute la journée, franchissaient ce seuil pour aller chercher de l'eau à la rivière ou y laver le linge.
L'Echoppe, dans la rue de l'Echoppe est, à dessein, à quelques mètres de ce passage principalement parcouru par les femmes du village. Deux raisons poussaient aussi à créer ces arches de pierre : le soutainement des facades et la recherche d'un gain de surface habitable par les habitants.
R U E D E L' E C H O P P E
Cette rue de l’échoppe doit son nom à la maison située au départ de la rue, appelée «La Maison du Barbier» car on y voit un plat à barbe au dessus de la porte d’entrée. Est-ce une véritable information ou simplement une tradition orale, nul ne le sait, mais le mystère reste entier…...
Sur votre gauche, au deuxième étage, sous la fenêtre, se trouvent deux morceaux de bois: C'est certainement pour y accrocher des fruits, notamment des figues et les faire sécher à cet endroit. Ceci est une subsistance de l’activité vivrière forte des habitants qui cultivaient leurs parcelles de légumes, possédaient quelques arbres fruitiers, des oliviers et souvent des chèvres…
L A R U E D E L' E C H O P P E
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Cette rue de l’échoppe doit son nom à la maison située au départ de la rue, appelée «La Maison du Barbier» car on y voit un plat à barbe au dessus de la porte d’entrée. Est-ce une véritable information ou simplement une tradition orale, nul ne le sait, mais le mystère reste entier…...
Sur votre gauche, au deuxième étage, sous la fenêtre, se trouvent deux morceaux de bois: C'est certainement pour y accrocher des fruits, notamment des figues et les faire sécher à cet endroit. Ceci est une subsistance de l’activité vivrière forte des habitants qui cultivaient leurs parcelles de légumes, possédaient quelques arbres fruitiers, des oliviers et souvent des chèvres…
R U E D E L' E C H O P P E - R U E SO U L E I A D O
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Nous sommes ici à un endroit tout à fait représentatif de l'urbanisme et de l'architecture de Montclus; Cette rue Souleiado descend en direction de la Cèze. Et on imagine ces femmes qui, toute la journée, franchissaient ce seuil pour aller chercher de l'eau à la rivière ou y laver le linge.
L'Echoppe, dans la rue de l'Echoppe est, à dessein, à quelques mètres de ce passage principalement parcouru par les femmes du village. Deux raisons poussaient aussi à créer ces arches de pierre : le soutainement des facades et la recherche d'un gain de surface habitable par les habitants.
R . D E L' E C H O P P E - R. SO U L E I A D O
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Nous sommes ici à un endroit tout à fait représentatif de l'urbanisme et de l'architecture de Montclus; Cette rue Souleiado descend en direction de la Cèze. Et on imagine ces femmes qui, toute la journée, franchissaient ce seuil pour aller chercher de l'eau à la rivière ou y laver le linge.
L'Echoppe, dans la rue de l'Echoppe est, à dessein, à quelques mètres de ce passage principalement parcouru par les femmes du village. Deux raisons poussaient aussi à créer ces arches de pierre : le soutainement des facades et la recherche d'un gain de surface habitable par les habitants.
L A R U E S O U L E I A D O
_________________________________________
Cette rue Souleiado est avec la porte de l'Arceau le second accès pour se rendre à la rivière, et naguère les femmes franchissaient cette voute pour aller chercher de l’eau à la Cèze.
La rue Souleiado signifie rue ensoleillée en Provençal et on le conçoit aisément vu son exposition.
Plus loin on aperçoit quelques mûriers. Ces arbres, nombreux dans la région ont été implantés pour les vers à soie qui se nourrissaient de leurs feuilles. Ici comme dans les Cévennes ou en Ardèche, la sériciculture, était une économie importante pour la région. L’activité était pourvoyeuse de richesses notamment en mai et juin, lorsque les magnanarelles, embauchées pour la saison, décoconnaient et formaient les écheveaux de soie.
R . E C H O P P E & SO U L E I A D O
Nous sommes ici à un endroit tout à fait représentatif de l'urbanisme et de l'architecture de Montclus; Cette rue Souleiado descend en direction de la Cèze. Et on imagine ces femmes qui, toute la journée, franchissaient ce seuil pour aller chercher de l'eau à la rivière ou y laver le linge.
L'Echoppe, dans la rue de l'Echoppe est, à dessein, à quelques mètres de ce passage principalement parcouru par les femmes du village. Deux raisons poussaient aussi à créer ces arches de pierre : le soutainement des facades et la recherche d'un gain de surface habitable par les habitants.
L A R U E S O U L E I A D O
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Cette rue Souleiado est avec la porte de l'Arceau le second accès pour se rendre à la rivière, et naguère les femmes franchissaient cette voute pour aller chercher de l’eau à la Cèze.
La rue Souleiado signifie rue ensoleillée en Provençal et on le conçoit aisément vu son exposition.
Plus loin on aperçoit quelques mûriers. Ces arbres, nombreux dans la région ont été implantés pour les vers à soie qui se nourrissaient de leurs feuilles. Ici comme dans les Cévennes ou en Ardèche, la sériciculture, était une économie importante pour la région. L’activité était pourvoyeuse de richesses notamment en mai et juin, lorsque les magnanarelles, embauchées pour la saison, décoconnaient et formaient les écheveaux de soie.
L A R U E S O U L E I A D O
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Cette rue Souleiado est avec la porte de l'Arceau le second accès pour se rendre à la rivière, et naguère les femmes franchissaient cette voute pour aller chercher de l’eau à la Cèze.
La rue Souleiado signifie rue ensoleillée en Provençal et on le conçoit aisément vu son exposition.
Plus loin on aperçoit quelques mûriers. Ces arbres, nombreux dans la région ont été implantés pour les vers à soie qui se nourrissaient de leurs feuilles. Ici comme dans les Cévennes ou en Ardèche, la sériciculture, était une économie importante pour la région. L’activité était pourvoyeuse de richesses notamment en mai et juin, lorsque les magnanarelles, embauchées pour la saison, décoconnaient et formaient les écheveaux de soie.
R U E D E L' A R C E A U
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Cette rue, la rue de l'Arceau est un des accès au village, à partir du Pont de la Cèze. Au Moyen Age, c’était le passage traditionnel pour entrer dans l’enceinte du château.
Le passage voûté traversait les remparts de part en part et les lavandières y passaient pour laver leur linge au pont : la ruelle était animée tout au long de la journée! La proximité de la rivière explique l’absence de lavoir au sein du village, ce qui est tout à fait rare dans un village typique du sud.
L A R U E S O U L E I A D O
Cette rue Souleiado est avec la porte de l'Arceau le second accès pour se rendre à la rivière, et naguère les femmes franchissaient cette voute pour aller chercher de l’eau à la Cèze.
La rue Souleiado signifie rue ensoleillée en Provençal et on le conçoit aisément vu son exposition.
Plus loin on aperçoit quelques mûriers. Ces arbres, nombreux dans la région ont été implantés pour les vers à soie qui se nourrissaient de leurs feuilles. Ici comme dans les Cévennes ou en Ardèche, la sériciculture, était une économie importante pour la région. L’activité était pourvoyeuse de richesses notamment en mai et juin, lorsque les magnanarelles, embauchées pour la saison, décoconnaient et formaient les écheveaux de soie.
R U E D E L' A R C E A U
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Cette rue, la rue de l'Arceau est un des accès au village, à partir du Pont de la Cèze. Au Moyen Age, c’était le passage traditionnel pour entrer dans l’enceinte du château.
Le passage voûté traversait les remparts de part en part et les lavandières y passaient pour laver leur linge au pont : la ruelle était animée tout au long de la journée! La proximité de la rivière explique l’absence de lavoir au sein du village, ce qui est tout à fait rare dans un village typique du sud.
L A P L A G E A U P O N T D U M O U L I N
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De nos jours la rivière est la halte rafraîchissante par excellence. Les familles s’y retrouvent dès le retour des beaux jours et le débit alors devenu léger de la Cèze en été en fait un lieu apprécié des touristes.
Ce pont, le pont du Moulin, qui permet de traverser la Cèze a été construit en 1870: c’est le premier passage pour passer d’une rive à l’autre depuis la ville de Barjac, plus au Nord ! Il a donc été très attendu par les habitants qui avaient longtemps multiplié les requêtes auprès de la municipalité. En effet, avant sa construction, seul un bac était à disposition en période de fortes eaux. Il était payant pour les hommes et les animaux et coûtait fort cher à la population !
Il s'agit d'un pont sans parapet permettant à l'ouvrage de résister aux crues exceptionnelles, l'eau passant carrément par dessus...
Attention ! Ne pas traverser ni à pied ni avec un véhicule si la crue est forte, vous pourriez être emportés.
R U E D E L' A R C E A U
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Cette rue, la rue de l'Arceau est un des accès au village, à partir du Pont de la Cèze. Au Moyen Age, c’était le passage traditionnel pour entrer dans l’enceinte du château.
Le passage voûté traversait les remparts de part en part et les lavandières y passaient pour laver leur linge au pont : la ruelle était animée tout au long de la journée! La proximité de la rivière explique l’absence de lavoir au sein du village, ce qui est tout à fait rare dans un village typique du sud.
R U E D E L' A R C E A U
Cette rue, la rue de l'Arceau est un des accès au village, à partir du Pont de la Cèze. Au Moyen Age, c’était le passage traditionnel pour entrer dans l’enceinte du château.
Le passage voûté traversait les remparts de part en part et les lavandières y passaient pour laver leur linge au pont : la ruelle était animée tout au long de la journée! La proximité de la rivière explique l’absence de lavoir au sein du village, ce qui est tout à fait rare dans un village typique du sud.
L A P L A G E A U P O N T D U M O U L I N
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De nos jours la rivière est la halte rafraîchissante par excellence. Les familles s’y retrouvent dès le retour des beaux jours et le débit alors devenu léger de la Cèze en été en fait un lieu apprécié des touristes.
Ce pont, le pont du Moulin, qui permet de traverser la Cèze a été construit en 1870: c’est le premier passage pour passer d’une rive à l’autre depuis la ville de Barjac, plus au Nord ! Il a donc été très attendu par les habitants qui avaient longtemps multiplié les requêtes auprès de la municipalité. En effet, avant sa construction, seul un bac était à disposition en période de fortes eaux. Il était payant pour les hommes et les animaux et coûtait fort cher à la population !
Il s'agit d'un pont sans parapet permettant à l'ouvrage de résister aux crues exceptionnelles, l'eau passant carrément par dessus...
Attention ! Ne pas traverser ni à pied ni avec un véhicule si la crue est forte, vous pourriez être emportés.
L A P L A G E A U P O N T D U M O U L I N
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De nos jours la rivière est la halte rafraîchissante par excellence. Les familles s’y retrouvent dès le retour des beaux jours et le débit alors devenu léger de la Cèze en été en fait un lieu apprécié des touristes.
Ce pont, le pont du Moulin, qui permet de traverser la Cèze a été construit en 1870: c’est le premier passage pour passer d’une rive à l’autre depuis la ville de Barjac, plus au Nord ! Il a donc été très attendu par les habitants qui avaient longtemps multiplié les requêtes auprès de la municipalité. En effet, avant sa construction, seul un bac était à disposition en période de fortes eaux. Il était payant pour les hommes et les animaux et coûtait fort cher à la population !
Il s'agit d'un pont sans parapet permettant à l'ouvrage de résister aux crues exceptionnelles, l'eau passant carrément par dessus...
Attention ! Ne pas traverser ni à pied ni avec un véhicule si la crue est forte, vous pourriez être emportés.
P L A G E & P O N T D U M O U L I N
De nos jours la rivière est la halte rafraîchissante par excellence. Les familles s’y retrouvent dès le retour des beaux jours et le débit alors devenu léger de la Cèze en été en fait un lieu apprécié des touristes.
Ce pont, le pont du Moulin, qui permet de traverser la Cèze a été construit en 1870: c’est le premier passage pour passer d’une rive à l’autre depuis la ville de Barjac, plus au Nord ! Il a donc été très attendu par les habitants qui avaient longtemps multiplié les requêtes auprès de la municipalité. En effet, avant sa construction, seul un bac était à disposition en période de fortes eaux. Il était payant pour les hommes et les animaux et coûtait fort cher à la population !
Il s'agit d'un pont sans parapet permettant à l'ouvrage de résister aux crues exceptionnelles, l'eau passant carrément par dessus...
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Email : mairie.montclus@wanadoo.fr
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